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Socrate, Einstein et les autres - Page 3

  • Mathématique d'un dé à coudre

    D'après la science moderne, si on éliminait tout le vide existant entre les atomes composant les 6 milliards de corps humains actuellement vivants, ce qui resterait de cette matière compactée remplirait tout juste un dé à coudre.

    Ainsi si on éliminait la part du vide contenu dans un être humain, on n'obtiendra à peine un six milliardième d'un dé à coudre.

     

    © Saïd Bailal

  • Connais-toi toi même !

    "Connais-toi toi même", injonction tatouée sur ce qui fut le nombril du monde : le temple d’Apollon. Mais une connaissance de soi est-elle possible ?

    Telle une bougie qui ne peut éclairer sa base, qu’au moment où elle finit de se consumer, seule la mort est capable de nous révéler à nous-même tels que nous sommes.

    © Saïd Bailal

  • Deux siècles de bavardage

    18ème siècle : Feuilletant "la Mécanique céleste", Napoléon fit remarquer à Laplace qu'il n'y était nulle part fait mention de Dieu. "Je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse", rétorqua le savant. Laplace affirmait alors que grâce à la science on pouvait tout expliquer. Pour lui : "Nous devons donc envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de ce qui va suivre. Une intelligence qui pour un instant donné connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir comme le passé serait présent à ses yeux. " 20ème siècle:  En 1986, Sir James Lighthill, physicien de renommée mondiale, déclara devant une réunion de la Royal Society et de la British Academy : " Nous voulons collectivement présenter nos excuses pour avoir induit en erreur le public cultivé en répandant, à propos du déterminisme des systèmes qui satisfont aux lois newtoniennes du mouvement, des idées qui se sont, après 1960, révélées incorrectes." Entre ces deux déclarations, et durant deux siècles, il y a eu beaucoup de bavardages

     

  • Les regrets de Newton

    Alors que le grand Issac Newton gisait sur son lit de mort, quelqu'un lui demanda ce qu'il regrettait le plus en quittant ce monde. A la surprise général de ceux qui l'entouraient Newton répondit "ce que je regrette le plus c'est de ne pas avoir connu le plaisir de la chair". En effet, Newton n'avait jamais connu de femme. Hélas pour lui, il était trop tard quand il a réussi à mesurer la gravité de la chose.

     

    © Saïd Bailal

  • Philosophie d'une boule de neige

    Si la neige déballant d'une motagne, lors d'une avalanche, se metterait à réfléchir,

    elle croirait qu'elle a un but, qu'elle travaille pour le bien de la montagne,

    elle finira par élaborer une philosophie aussi idiote que son acharnement à atteindre le bas de la montagne.

     

    © Saïd Bailal